La paix ne paye pas

 Pourquoi pas un Jésus
Comme chef de la Tribu ?
Un homme bon, courageux,
Sincère et vertueux,
Un modèle de droiture,
Beau, pur comme la Nature,
Un homme de vérité,
Un homme qu’on peut aimer.

Pourquoi pas un Gandhi
Comme tête du pays ?
Un homme juste et de cœur,
Ni voleur ni menteur,
Un modèle exemplaire,
Qu’éliminerait  la guerre,
Un grand homme de confiance,
Qui coulerait la finance.

 Pourquoi pas un Buddha,
Ou le Dalaï-lama ?
Un homme de compassion,
Anti consommation,
Philosophe de respect,
Prôneur de la paix,
De tous ses beaux dictons,
Amènerait-il l’action?    

Et pourquoi pas le Pape ?
En serait-il cap ?
Un homme sans pêché,
Emblème de Sainteté,
Modèle de gratitude,
Et de belles attitudes.
Qu’il dirige le monde,
Pour que l’amour inonde !

« Car la paix ne paye pas,
La guerre fait un tabac.
Travailler nos vertus,
On s’en est bien foutu.
On nous vend l’illusion.

De rêves qui n’sont pas bons,
Du système, les poissons,
On est mort à l’hameçon. »

Le changement c’est pour quand ?

« Ils nous chantent tous de belles chansons,  souvent à tort plus qu’à raison.

Où est le vrai, où est le faux ?  Ils ne savent jouer que du pipeau.

Mais où est-il le vrai changement ? Mais où est-il concrètement ?

Nous on attend, tous, patiemment. »

 Ils nous polluent, pauvres esprits, grand méchants loups, nous les petits.

Avec leur savoir à tout va, pour qui se prennent tous ces gens-là ?

Ils emprisonnent nos regards, nous faisant boire tout leur savoir.

On tourne en rond, comme des bouffons, à cause de toutes leurs décisions.

 On en peut plus d’être des machines, pas besoin de toutes vos usines.

Vous appelez ça l’évolution, j’appelle cela la destruction.

On en veut plus des financiers, ils sont trop lourds à digérer.

Bande de picsous, trois franc six sous, maintenant à vous d’être à genoux.

 Ils manipulent de leurs ficelles, Pour nous brûler ainsi les ailes.

Avec leurs sciences et religions, mais tout ceci n’est que fiction.

Ils s’ennuient tant qu’ils font la guerre, tout ça pourquoi ? Pour de la terre.

Le monde est grand, on a peu d’temps, alors le changement c’est maintenant.

 Ils nous ont fait perdre patience, aujourd’hui on a pris conscience.

Allez, allez, résolution, on en a marre d’être des moutons !

Ils nous ont fait perdre patience, aujourd’hui on a pris confiance.

Allez, allez, Révolution , on est nombreux , alors ACTION !

 

L’Amour de mon Rêve

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Un amour vrai et doux, si fort et si sincère,
Qui contre toute épreuve, resterait solidaire,
Où jamais le mensonge, ne pourrait exister,
D’une parfaite empathie, et d’un profond respect.
Un amour d’exception, amour exceptionnel,
Sans aucune destruction, un amour passionnel.

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Un amour qui se suffit, au reste de la terre,
Les meilleurs amis, comme des sœurs et frères,
Où personne ne domine, parfaite égalité,
Où personne ne s’abime, on ne fait que s’élever.
Un amour pur et dur, un amour courageux,
Où malgré le monde fou, nous n’sommes jamais peureux.

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Un amour créatif, rebelle et généreux,
Où l’on serait la muse, à chacun de nous deux,
Sur le même chemin, juste ensemble à créer,
En parfaite harmonie, ayant les mêmes pensées.
Un amour animal, un amour enfantin,
Un amour idéal, un amour surhumain.

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Oh grand jamais de doute, une éternelle confiance,
Tout au long de la route, notre union l’évidence.
Un amour exclusif, extrêmement fidèle,
Un amour excessif, un amour éternel.
Un amour véritable, au delà de l’égo,
Où dans un même miroir, c’est l’autre qu’on trouve beau.

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Qu’on partage les mêmes rêves, sans la moindre concurrence,
Parfaits complémentaires, chacun ses compétences.
Qu’on soit toujours d’accord, jamais un seul conflit,
Que ça coule de source, sur notre fleuve de vie.
Amour de cœur, d’esprit, un amour sans effort,
Un amour pour toujours, à la vie à la mort.

 

Lumière et Obscurité

Comme la fleur du lotus, au parfum délicieux, 
Prend racine cependant, au fin fond de la boue,
Il se peut que l’astuce, pour briller de son mieux,
Soit d’être clairvoyant, de nos gestes les moins doux.


Comme la plante du cactus, se montre dure et piquante,
Pourtant s’orne de bourgeons, d’une soyeuse beauté. 
Pour croître il faut focus, sur nos faces affligeantes,
Pour qu’ensuite, tout le bon, puisse irradier.


Tout comme Vénus née, du ramas de l’écume, 
Pourtant, elle, la déesse, de la somptuosité.
C’est sous notre saleté, au cœur de l’amertume,
Que se cachent les richesses, d’une profonde beauté.


 

Nature de l’Amour

Il y a des idylles, qu’on appelle : passions,
Elles nous font chavirer, les cœurs en leurs corps,
Par des parfums subtils, enveloppent le poison,
De la calamité des futurs désaccords.
 
Il y a des liaisons qu’on baptisera : fatales,
Contre des formes harmonieuses, d’inconciliables esprits,
La précipitation à s’unir peut faire mal,
Quand la robe trompeuse est alors démunie.
 
Il y a des histoires qui doivent être vécues,
Non pas pour durer mais pour nous endurcir,
Par l’effet du miroir de nos maux défendus,
Qu’il nous faut regretter, plutôt que de les fuir.
 
Il y a des unions, peureuses, les plus banales,
D’habitudes, de confort, de profits, d’intérêts,
D’identiques confections, sans vagues déraisonnables,
Qui ne font nul tord qu’à celles qui sont en paix.
 
Il y a une morale, qu’il nous faut découvrir,
Derrière le lourd chagrin, que l’amour peut causer.
Plus l’épreuve fait de mal, plus elle peut faire grandir,
La clé est en nos mains, les leçons à tirer.
 
Il y a des aventures, que la vie a souhaitées,
Pour nous ouvrir les yeux, induire l’évolution,
Mais au fond, la nature n’a qu’une vraie destinée,
Nous duper de son mieux, pour la reproduction.
 
 
 
 
 

Diable de Tasmanie

 « Je Suis un diable de Tasmanie,
Ma seule défense c’est mon cri.
Lorsque je me sens agressée,
C’est ma nature que de brailler,
Pour qu’on me fuit, pour faire le tri,
Mais au fond timide et gentil.
Une espèce en voie d’extinction,
Soyez tranquille, population ! »

J’ai des principes dont je suis fière,
Je les attends des miens aussi,
D’être solidaire et sincère,
Si tu te dis être mon ami,
Si tu m’esquives dans la galère,
Ou alors que tu me trahis,
Tu déclencheras le signe de guerre,
Avec mes mots, j’anéantis.
Faut jamais provoquer mes nerfs,
Si tu veux pas un tsunami.
C’est ma nature que d’être entière,
Mes ennemis sont pas des amis.
L’injustice m’enrage de colère,
Tout autant que la fourberie.
Si je te croyais être un frère,
Que tu m’as dupé de tromperie,
J’exploserai comme le nucléaire,
Tu te sentiras tout petit,
Ma lave sortira du cratère,
Pour nettoyer ton infamie.
Etre faux jeton à quoi ça sert ?
Pourquoi jouer cette comédie ?
Etre faux gentil, pourquoi faire ?
Va donc voir ailleurs si j’y suis !
C’est ma nature, mon caractère,
Je connais pas l’hypocrisie,
Presque toujours, ça me dessert,
Je suis intègre à être ainsi.
Je suis plus sure en solitaire, Ils sont très rares sous mon abri.
Je me fous d’être populaire,
S’il faut ruser de duperies.
Je suis animal dans ma chair,
Je connais pas la sournoiserie,
J’ai de l’instinct, un puissant flair,
Ton mensonge n’aura pas longue vie,
Si ton obscur n’est pas clair,
Je te balaye sans compromis. Je m’adapterai pas pour plaire,
Si tu m’aimes ce sera ainsi.

Liberté

On m’avait dit de me méfier,

Que tu me causerai des tracas,

Que tu étais bien trop risqué,

Que tout s’achète dans ce monde là,

Qu’il me faudrait dur travailler, 

Sinon je te connaîtrai pas.

On m’avait mal parlé de toi , 

Lorsque je n’étais qu’une enfant,

Je te sentais plus fort que moi , 

Vouloir jaillir, naturellement, 

Ces règles je n’en voulais pas,

Pour te connaître, fallait dire Non.

Je n’ai donc écouté que moi, 

Partie avec mon balluchon,

Guidée par ma petite voix,

Et je suivais mes intuitions, 

C’était pas simple ici et là,

Mais ce fut mille et une leçons.

En étant libre j’ai fait le choix,

De fuir la facilité, 

Me baladant de toit en toit,

J’ai fait ma personnalité, 

Dans un seul but , me trouver moi,

Sans autre loi qu’être spontanée. 

Je t’ai gardé coûte que coûte,

Contre ce qui pouvait m’enchaîner,

Des choses des gens m’ont mis le doute,

Mais dans leurs cages , emprisonnée,

Il m’a fallu reprendre ma route, 

Car sans toi j’aurai pu crever.

Tel un oiseau les ailes planant, 

Là ou mon coeur me portera, 

La liberté ça rend vivant, 

La liberté ne s’achète pas, 

La liberté c’est le vivant, 

La liberté c’est notre droit.

A Toi mon Etoile

Pour te voir émerger, sur la côte de ma vie,
Je tirerai ton portrait, d’âme-sœur chérie.
Décrirai trait par trait, ton cœur et ton esprit,
Pour ainsi te chanter et qu’opère la magie.
 
Pour Toi cette chanson, pour te visualiser,
D’intenses répétitions, pour pouvoir t’attirer,
Par la force d’attraction que seront mes pensées,
Gravitation d’aimants, j’œuvre à te mériter.
 
Je te veux une personne, des plus droites et sincères,
Instinctive, animale, aussi pure que dure,
Altruiste et bonne, honnête et solidaire,
Juste, franche et entière, vénérant la nature.
 
Je désire que ton être, soit fort et courageux,
Justicier et intègre, d’une force calme et patient.
Curieux, original , humble et audacieux,
Toujours rempli de doutes, mais néanmoins, confiant.
 
Sage et philosophe, pourtant libre et rebelle,
Sportif intellectuel, aussi simple que savant,
Doux et tendre sauvage à l’âme spirituelle,
Monogame exclusif, fidèle et rassurant.
 
Lumineux et charmant aussi charismatique,
Mais pourtant ton ego, fort bien équilibré,
Vertueux, loin des vices, je te vois authentique,
Avec pour seul hic, le manque de ta moitié.
 
Il est évident que tu aimes l’art, la musique,
La cuisine, les poèmes, voyages et liberté !
Toutes tes actions de vie sont belles et héroïques !
Je te regarde sans fin, touchée, impressionnée.
 
J’imagine que tu es solide et sans peur,
Même si tu oses montrer quand quelque chose t’émeut.
Tu es un homme humain, protecteur, au grand cœur,
Réel aventurier, moitié ange, moitié Dieu.
 
Je te vois dans les actes, même si tu aimes les mots.
Je te vois respectant profondément la femme.
Je te vois dans le vrai, ayant horreur du faux.
Social mais discret, pour moi tout feu tout flamme !
 
Ton cœur préfère être seul, que mal accompagné,
Et plus le temps passa, plus il est exigeant.
A force d’expériences, tu sais bien qui tu es,
Et celle que tu veux, et celle qui t’attend.
 
Et si de ton côté, tu peignais le tableau,
De la femme dont tu rêves, de la seule qu’il te faut,
Bel et bien évident que je pourrai y voir,
Le reflet de moi-même, dans le jour comme le noir.
 
Comme ton âme est belle, tu le seras aussi,
Dans tes yeux de lumière, on voit la vérité.
Aussi rare qu’unique, oiseau du paradis,
Tu voles haut vers moi, je te sens accoster.
 
Toi ma très chère étoile je sais que tu m’entends,
Toi mon ange spécial, aussi drôle que touchant,
Toi ma bête idéale, je te rêve ardemment !
Allons mettre les voiles pour des jours hors du temps.
 
 

Beauté Physique

 

La beauté physique, elle a des standards,

C’est mathématique, avec un code barre.

La beauté physique, est aléatoire,

Elle n’a pas d’éthique, elle est dérisoire.

La beauté physique, trompe le miroir,

Le psychologique,  est dans le brouillard.

La beauté physique, est souvent une tare,

Elle rend narcissique, voir même vantard.

La beauté physique,  est un faire-valoir,

Une emblématique, qui donne du pouvoir.

Ce monde pathétique , nous a tous faire croire,

Que la beauté physique, est synonyme de gloire.

La beauté physique,  elle est illusoire,

Elle rend amnésique ,  empêche de bien voir.

La beauté physique, une belle œuvre d’art,

Qui devient tragique, quand on tourne vieillard.

Beauté esthétique, une forme provisoire,

Notre fond unique,  le seul bel espoir.

La beauté physique, elle part tôt ou tard,

Sans un beau psychique,  sortez vos mouchoirs !

 

La Mode à la Mort – La Mort à la Mode

 

La mort est-elle donc à la mode ? Où es-ce la mode qui se meurt ?
La vie me semble à l’antipode, de cette mode sans chaleur.
Où sont les années quatre-vingt ? Pourquoi rapidement oubliées ?
Catastrophique, c’est le déclin, d’une mode qui ne fait pas rêver !
Elles sont passées où les couleurs, qui nous rappelaient à la vie ?
Toutes ces tenues me font grand peur, nous sommes tout triste, nous sommes tout gris !
La mode est représentative de l’ambiance de notre société,
Elle est morbide et régressive, elle tue la personnalité !
Les hommes en pantalons moulants ? Bientôt, ils finiront en jupes.
Aucune allure, c’est déroutant ! Pour les porter il faut être dupe !
Ou tout ces pantalons bouffants, comme si tu t’étais fait dessus !
C’est ironique, déconcertant ! Non mais tu t’es vu ou t’as bu ?
Ces tenues sombres tels des vampires, on dirait tous des morts-vivants !
Tu peux oublier les sourires, ils n’iraient pas bien là-dedans !
Il se cache où notre bonheur ? Elle est passée où la beauté ?
Faisons revivre la fraîcheur, habillons nous de la gaieté !
La nature est pourtant si belle, il serait bien d’être raccord,
On devrait tous s’inspirer d’elle, pour être beaux dans son décor.
L’apparence est un premier pas, le beau est la simplicité.
Nul besoin donc d’en faire des tas, ni de casser son porte-monnaie.
Peut-être qu’en changeant la mode, on vivrait dans un plus beau monde…
Si on se met de nouveaux codes, pour dégager de meilleures ondes.
L’extérieur se voit en premier, c’est ce qu’on regarde dans la rue.
On ne risque pas de s’aimer, quand nous sommes tous si mal vêtus !
Un peu d’originalité, et d’élégance dans nos tenues.
En quelque sorte du respect, pour la vie et l’individu.

 

Gouvernement du Peuple, par le Peuple, pour le Peuple.

 
 
 
C’est difficile d’être heureux, sans avoir beaucoup d‘ignorance,
J’estime que c’est fort désastreux, de faire impasse sur la souffrance,
Que vivent tant de gens, c’est honteux, de se complaire dans l’innocence,
D’avoir à se fermer les yeux, quelle égoïste vaine existence,
C’est lamentable et douloureux, l’individualisme en puissance.
J’ai choisi d’être impétueux, pour agir en pleine conscience,
J’ai choisi d’être courageux, même si j’y perds en prééminence,
J’ai choisi d’être généreux, car ça détruit l’indifférence,
J’ai choisi de faire de mon mieux, pour que ma vie ait un vrai sens,
Je défends le coté de ceux, qui ne connaissent pas le mot : chance.
 
C’est l’heure de déclencher la guerre, sans armes, pas comme vous : barbares !
Nous on vomit vos sales manières, c’est l’heure où le peuple prend pouvoir,
On sait ce qu’il nous reste à faire, on est en masse devant le phare,
On va se battre pour notre terre, pour l’équité, pas les dollars,
Pour démolir toutes vos frontières, pour mettre fin à ce cauchemar.
Vos publicités mensongères, plus personne ne pourra y croire.
Pour l’économie et la terre, on unira tous nos savoirs,
On dictera ce qu’il faut faire, vous n’aurez qu’à le faire valoir.
On s’unira tous solidaires, car la justice est un devoir,
Nous les peuples nous peuplons la terre, unis on est remplis d’espoir.
 
Ca vous aura bien arrangé, de nous faire manger toutes vos guerres,
Bien plus simple une fois divisé, que le peuple n’ose plus rien faire,
Cette fois ci vous êtes démasqués, le peuple est enfin en colère,
A vous de nous dédommager, on va partager vos salaires,
Sans le peuple vous pouvez plus jouer, sans le peuple vous êtes la misère.
Nous seuls on peut se débrouiller, sans nous vous êtes des grabataires.
On ne va plus jamais lâcher, on est de nombreuses sœurs et frères,
A se foutre de nos intérêts, à la connaître la galère,
Ce défi on va le relever, par la force d’union salutaire.
Plus rien ne va nous arrêter, à vous de faire votre prière !
 
Elle n’est à personne notre terre, ses richesses doivent être partagées.
C’est notre nid, mère nourricière, elle mérite le plus grand respect.

Notre-Dame

 
Serait-ce une utopie, d’ardemment souhaiter,
Que nos gouvernements, lancent des appels aux dons,
Alarmés d’empathie, face au vivant bafoué,
Remplis de sentiments, de sincères émotions,
Pour tout ce qui est Vie, d’un immense respect,
Comme pour leurs bâtiments, qui leurs donnent des frissons ?
Mais leur « egocratie » accorde plus d’intérêt,
Aux illustres monuments, prétentieuses créations,
Qui ne donnent ni la vie, ni à boire et manger,
Mais l’argent est présent, pour les œuvres des maçons,
Vicieuse hypocrisie, devant une Terre fauchée,
Indéniablement, nous sommes pris pour des cons.

Le Rêve Américain

Mais d’où vient-il donc, ce rêve Américain?
Qui nous a inspiré, qui nous a inondé.
Reprenons donc l’histoire, si vous le voulez bien,
Et assumons un peu, la triste vérité.
Un des gros Génocides, c’est les Amérindiens,
Et ça malheureusement, on l’a vite oublié.
Parmi les  tueurs du monde, y’a les Américains,
Je ne comprends donc pas, ce qui nous fait rêver!

A ça pour nous en vendre, de ce Coca Cola,
Ils ont mis le paquet, ils nous ont éblouis,
De la chimie pour tous, Monsanto à tout va!
Faut vite se réveiller, maintenant les amis,
Toutes ces influences, aussi du cinéma,
Ne sont bien que des films, une triste utopie.
Derrière tout ces mensonges, il y a un combat,
Ensemble on doit dire non, sinon on perd la vie!

Mais d’ou vient-elle donc, l’envie de ressembler,
A ce peuple vainqueur, qui n’est qu’une imposture?
Où tous les dirigeants, sont comme robotisés,
Se foutant bien du peuple, et de tuer la nature,
Ils sont tous régis, par du vent financier,
Et vont bientôt forcer, le monde en dictature,
Je vous en prie à tous, cessez donc de gober,
Leur monde de profits, n’a pas l’droit au Futur.

A nous jouer du violon, à vendre de l’illusion,
Ils sont bien les plus forts, les plus grands des acteurs,
Nous font croire que bonheur, égal consommation,
Ils ont formé fourmis, à être bons travailleurs,
Pour ensuite nous voler, mettre le peuple en prison,
Ce faisant tous passer, pour les maitres sauveurs,
Je vous en prie à tous, stop l’acceptation,
Pas un des dirigeants, n’est autre qu’un menteur.

Il n’y a aucune raison, de pouvoir cautionner,
Leurs méthodes criminelles, leurs pratiques atroces,
Ils vont bientôt nous vendre, pour la « Sécurité »,
Une gouvernance mondiale, pour contrôler en force,
Si on accepte ça, c’est comme se suicider,
Ce sera pire que tout, ils sont bien trop féroces,
Je vous en prie à tous, de plus allez voter,
Sinon ce sera pire, qu’une bombe qui s’amorce !

Rébellion du troupeau

L’homme ne vient pas du singe, mais plutôt du mouton,
Il est venu le jour, de tous nous révolter,
De plus avoir la trouille, de prendre position,
Car nous avons compris, qu’il faut se rassembler,
Car nous sommes nombreux, à vivre dans la prison,
De cette minorité, qui nous a abusé.
Si tu n’es pas fils de, ou du clan franc-maçon,
Tu peux toujours courir, pour une égalité.


Il est venu le temps, de la révolution,
Ensemble tout le peuple, nous n’irons plus voter,
Car rien ne changera, si on ne dit pas non,
Pas un des candidats, n’est là pour nous sauver,
Il est urgent maintenant d’entrer en rébellion,
La politique arnaque, devenue démodée.
Nous n’avons plus le temps, pour d’autres illusions,
Tous les hommes de pouvoir, vous êtes démasqués,
Seuls vos intérêts, vous donnent motivation,
Pas un seul d’entre vous, ne recherche la paix,
Tout n’est que jeux de coq, et manipulations,
Vous ne servez qu’à vous, c’est ça la vérité.

Je suis si enragée, qu’on soit si peu en rage,
Face a toute l’injustice, de notre humanité,
Je suis désespérée, que vous aimiez vos cages,
A penser que bonheur, égal facilité,
Je suis triste de voir, que peu on le courage,
Pour agir en accord, avec leurs belles idées,
Je suis déçue de l’homme, qui se fout d’être sage,
Il préfère se battre, conquérir, dominer,
Tout est chacun pour soi, c’est le pire gaspillage,
Cet individualisme, nous a rendu bien laid,
On finira tous seuls, si on prend pas l’virage,
De penser à l’ensemble, plus qu’à notre intérêt.

Ils ont dit que l’argent, ça donnerait le bonheur,
Les plus riches de cette terre, sont perdus, malheureux,
Ils en veulent toujours plus, et sont remplis d’aigreur,
Car leur argent est sale, et les rend prétentieux,
L’argent donne le pouvoir, le pouvoir supérieur,
De se penser gagnant, de se prendre pour un Dieu,
Il n’ y a rien à envier, la richesse est de cœur,
Et les êtres les plus forts, les plus proches des Dieux,
Travaillent leurs êtres en fond, les vertus, les valeurs,
Car nous vivons ensemble, et c’est très douloureux,
Que leurs lois nous séparent, et que le coeur se meurt.

Politique

Politique d’élus,
Rien de plus corrompu !
Politique sociale,
Pour une misère mondiale !
Politique sanguinaire,
Hypocrite meurtrière !
Politique faux-jetons,
Pour faire parler les cons !
Politique ridicule,
L’heure de changer d’formule !
Politique de coq,
Humanité en Toc
.

Pour Charlie et Tant d’Autres

 

La première question, qu’on pourrait se poser,
Qui a créé le trouble, qui sème la zizanie ?
L’animal qui tue, c’est seulement pour manger,
Mais les hommes font la guerre, le ventre bien rempli.
Stratégiques ils divisent, toujours pour mieux régner,
On est bien loin du singe, l’homme est vain, il détruit,
La guerre, sa religion , pour tous nous séparer,
Dans un but dérisoire, le pouvoir, le profit.

Nos vie seraient-elles tristes sans ces maintes querelles ?
L’homme est né pour se battre, tuer toutes les choses belles?
Si on s’élève un peu, que l’on regarde de haut,
Ouvrons enfin les yeux, c’est stupide ce chaos !
Ca ne rend pas heureux, d’avoir à faire la guerre,
C’est une triste habitude, qui laisse un gout amère.
La vie passe tellement vite, c’est un compte à rebours,
Arrêtons le gâchis, ne pensons qu’à l’amour.