Le changement c’est pour quand ?

« Ils nous chantent tous de belles chansons,  souvent à tort plus qu’à raison.

Où est le vrai, où est le faux ?  Ils ne savent jouer que du pipeau.

Mais où est-il le vrai changement ? Mais où est-il concrètement ?

Nous on attend, tous, patiemment. »

 Ils nous polluent, pauvres esprits, grand méchants loups, nous les petits.

Avec leur savoir à tout va, pour qui se prennent tous ces gens-là ?

Ils emprisonnent nos regards, nous faisant boire tout leur savoir.

On tourne en rond, comme des bouffons, à cause de toutes leurs décisions.

 On en peut plus d’être des machines, pas besoin de toutes vos usines.

Vous appelez ça l’évolution, j’appelle cela la destruction.

On en veut plus des financiers, ils sont trop lourds à digérer.

Bande de picsous, trois franc six sous, maintenant à vous d’être à genoux.

 Ils manipulent de leurs ficelles, Pour nous brûler ainsi les ailes.

Avec leurs sciences et religions, mais tout ceci n’est que fiction.

Ils s’ennuient tant qu’ils font la guerre, tout ça pourquoi ? Pour de la terre.

Le monde est grand, on a peu d’temps, alors le changement c’est maintenant.

 Ils nous ont fait perdre patience, aujourd’hui on a pris conscience.

Allez, allez, résolution, on en a marre d’être des moutons !

Ils nous ont fait perdre patience, aujourd’hui on a pris confiance.

Allez, allez, Révolution , on est nombreux , alors ACTION !

 

Chère France

 

 Que devient-elle notre chère France? faut-il s’enfuir et l’oublier?

Parce qu’on a perdu l’espérance, que les choses puissent s’améliorer.

C’est notre terre, ça à un sens, on ne peut pas l’abandonner,

Apprenons donc la résilience, mais surtout à nous entraider.

 Tout s’accélère, la décadence, dans cette France déchaînée,

Plus de repères, trop de naissances, d’un égoïsme démesuré,

Alors on sort, alors on danse, et on paraît sans partager,

Elle me rend triste ma belle France, quand on pense à tout son passé.

 « Après l’hiver vient le printemps, ca n’peut pas continuer ainsi,

Il y a toujours eu du changement, c’est pour cela qu’c’est beau la vie,

Après la pluie vient le beau temps, ca n’peut pas continuer ainsi,

On va se battre pour qu’nos enfants, ne subissent pas notre gâchis. »

 Que devient-elle notre chère France? Tous les souvenirs d’une patrie,

De grands artistes en pleine conscience, qui nous élevaient face à la vie.

De grands chercheurs, savants, des sciences, qui luttaient contre les maladies,

Elle était belle notre chère France, avant qu’elle ne pense qu’au profit.

 Tout s’accélère à grande cadence, dans cette France en tragédie,

On a perdu toute confiance, A force de jouer la comédie,

Ou est passée notre insouciance? Il ne reste que la nostalgie,

Allez rêveurs, en abondance, venez sauver notre Pays.

 « Après l’hiver vient le printemps, ca n’peut pas continuer ainsi,

Il y a toujours eu du changement, c’est pour cela qu’c’est beau la vie,

Après la pluie vient le beau temps, ca n’peut pas continuer ainsi,

On va se battre pour qu’nos enfants, ne subissent pas notre gâchis. »

 

 

Aussi Nombreux , Aussi Seuls

Toi tu voudras me faire l’amour,
Et je ne le veux pas,
Toi tu voudras m’aimer un jour,
Et je ne le peux pas,
Nombreux veulent de moi,
La même chose que toi,
Comment croire en l’amour,
Si rapidement que ça?

« Aussi nombreux sont les hommes
Qui vivent dans ce monde là,
Aussi seuls nous sommes,
A ne penser qu’à soi,
Aussi nombreux sont les hommes,
Qui cherchent dans ce monde là,
Une seule et même personne,
Pour retrouver la foi. »

Toi tu voudras me prendre,
Sous ton aile et chez toi,
Moi je voudrais me pendre,
D’être ce que je n’suis pas,
Puis tu voudras m’apprendre,
Ta vérité à toi,
Ce sera peine perdue,
Je n’écoute que moi.

« Aussi nombreux sont les hommes
Qui vivent dans ce monde là,
Aussi seuls nous sommes,
A ne penser qu’à soi,
Aussi nombreux sont les hommes,
Qui cherchent dans ce monde là,
Une seule et même personne,
Pour retrouver la foi. »

Mais toi tu ne penses pas,
A l’intérieur de moi,
Ce que tu veux de moi,
C’est simplement pour toi,
Moi qui ne pense pas,
A te prendre quoi qu’ce soit,
Je suis un oiseau libre,
Toi tu me veux en proie.

« Aussi nombreux sont les hommes
Qui vivent dans ce monde là,
Aussi seuls nous sommes,
A ne penser qu’à soi,
Aussi nombreux sont les hommes,
Qui cherchent dans ce monde là,
Une seule et même personne,
Pour retrouver la foi. »