Biarritz mon Amour

 

 Biarritz ma belle féerique,
Tu m’auras séduite, fait rêver.
Tes paysages charismatiques,
Me touchent tant, me font vibrer.

De tes beaux arbres, les Tamaris,
Originaux et poétiques,
De ta grande classe, sans artifice,
De tes purs basques, si authentiques.

Toi aussi simple que coquette,
Avec la grâce de tes mouettes.
Marcher pieds nus jusqu’à la plage,
Avec la tête dans les nuages.

Me balader dans tes ruelles,
Avec le temps comme un allié.
Loin des grandes villes, repoussent mes ailes,
Il est vital de respirer.

Ca fait plaisir de rencontrer,
Tant de « bonjour » aux coins des rues,
Une sensation d’humanité, a
vec des passants inconnus.

Aussi sauvage, qu’esthétique,
Biarritz aux vertus salvatrices.
D’une énergie énigmatique,
A l’inspiration créatrice.

Tu es si forte de caractère,
Toi la plus belle ville du monde.
Ton climat, comme moi, bipolaire,
Ma passion pour toi est profonde.

Tu m’as conquise, ensorcelée,
De ton imposante nature,
De la vierge et de tes rochers,
Tu es la plus belle des peintures.

 Quel charme ce port des pêcheurs,
Les chemins dans les roches, sculptés,
Je n’me lasse pas de ta splendeur,
Biarritz tu m’auras envoutée.

Du charme des maisons aux couleurs,
Des merveilleux petits châteaux,
De l’iode si sain, des bonnes odeurs,
Et de mes amours, les moineaux.

De ton majestueux Palais,
De l’élégance du Régina,
De ta divine voie lactée,
Et de tout ces beaux hortensias.

De la puissance de ta mer,
De l’influence de tes montagnes,
De la pureté de ton air,
Des Landes proches ou de l’Espagne.

Biarritz est pour moi, exemplaire,
De comment prendre soin de la terre.
La nature s’est bien habillée,
On a devoir de l’honorer.

L’humain a bien fait son travail,
Pour t’égaler, dame Nature,
Je me sens ici, au bercail,
Biarritz sera mon futur.

Merci à tout ceux qui ont fait,
De cette ville propre, une beauté.
Merci à tout ceux qui y vivent,
De continuer à respecter.

Je remercie aussi la pluie,
Fort présente au pays,
Mais grâce à qui on est sauvé,
De l’invasion d’humains boulets.

Ma chère Biarritz magnétique,
Douce et forte, énergétique.
De tes couleurs et de tes ombres,
Tous tes ciels sont comme des songes.

De la belle plage du Miramar,
Patrick le fameux homme des mouettes,
M’aura donner un bel espoir,
Dans son altruisme envers les bêtes.

Notre ville n’est pas là où l’on naît,
Elle est celle qu’en vie, on choisit.
Depuis deux ans, je te connais,
Plus un seul doute, tu es mon nid.

Aussi rustique que raffinée,
Je te chéris fort dans mon cœur,
Toutes tes images restent gravées,
Même si souvent le ciel pleure.

Tu m’as éclairé de ton phare,
Je dois te quitter à ce jour,
J’espère revenir tôt, pas tard,

J’écris ces mots le cœur lourd.

Humains ou Robots ?

Me voilà évadée, dans les montagnes d’Asie,
Là où la vie est douce et belle à observer,
La ville est un enfer, où nous tuons la vie,
Les humains, des robots, qui ne savent que polluer.
Dame nature, notre terre, toi qui nous qui nous donne un nid,
Pourquoi l’homme, si mauvais, ne t’a pas remercié ?
Dame nature, notre mère, toi qui es si jolie.

Il se moque de toi, se prenant au sérieux,
Il a un gros complexe, d’infériorité,
Car tu es notre toit, donc le seul vrai Dieu,
Cela ne lui plait pas, il détruit pour régner.
Nature imprévisible, de la terre et des cieux,
L’homme a fort peur de toi, donc, veut t’exterminer.
Il fait n’importe quoi, pensant toujours faire mieux.

Il construit des buildings, allant plus en plus haut,
Des machines infernales , allant plus en plus vite,
Et nous comme des aveugles, en plus on dit bravo !
Toutes ces applications, jeux débiles, nous limitent,
En disant oui à ça, nous sommes les pires idiots,
Car le bonheur est loin, de tout ce qui s’agite,
Plus ça va, ça va vite, plus le vrai est du faux.

C’est la guerre dans nos vies, c’est normal que ça pète,
Toutes nos énergies, dans le monde se reflètent,
On se dit tous amis, mais c’est chacun sa tête,
On se dit tous unis, mais c’est chacun sa quête,
A cultiver l’égo, on tue toute relation,
Il n’y aura plus de vie, si on néglige l’union,
Dame nature, ma chair, l’homme est le pire poison.

Instagram et Smartphones

« -L’homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique. – Je crains le jour où la technologie remplacera les interactions humaines. Nous aurons alors créé une génération d’idiots.
-Le progrès technique est comme une hache qu’on aurait mise dans les mains d’un psychopathe.
– Il est hélas devenu évident aujourd’hui que notre technologie a dépassé notre humanité. »

Albert Einstein

 

 » Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tord qu’ils ont raison. « 
Coluche

 

Depuis le jour où j’ai instagram installé,
J’ai dans la main, toujours, une horrible sensation,
Comme si ça me chauffait, comme si ça me tendait,
Tous les nerfs de ma main, en totale contraction.
C’est l’effet d’un aimant, qui nous a aliéné,
En chose robotique, en pleine mutation.
Alors je sais pas vous ? Si vous aussi sentez ?
Que ça nous fait du tord, que c’est le pire poison.
Que ce genre d’inventions est loin d’être un progrès,
Autant physiquement, que pour nos émotions.
Le peuple devient idiot, triste et dégénéré,
Regardez vous d’en haut, et vous pourrez dire Non.

Dangereux comme la drogue, qui vous donne l’illusion,
Que le mal est le bien, que le vrai est le faux.
De selfie en selfie, piteuse génération,
Vice de créer l’envie en se pensant si beau,
Excès du moi moi moi, d’une pauvre prétention,
Voulant être adulé, sur ses réseaux sociaux.
Par cette facilité, qui vous donne l’addiction,
A poster votre vie, vous n’êtes que des photos.
Avant ça je pensais, qu’on venait du mouton,
A ce jour nul doute, qu’on descende du robot.

Maléfique instagram, société star système,
Aussi superficielle que fausse et hypocrite,
Comment polluer son âme, en recherchant les: « j’aime »,
Comment détruire la vie pourtant énergétique.
Chers messieurs, chères dames, il n’y a rien qui vous gène ?
Votre vie, votre temps, n’est que d’informatique.
Rien donc ne vous alarme ? Il n’y a pas de problème ?
Vous sentez vous heureux ou d’un vide chronique ?
Vous n’voyez pas le drame, vous n’sentez pas vos chaines ?
Le miroir de vous-même n’est-il pas pathétique ?
Je n’vous mets pas le blâme, mais secouez vous quand même !
Humanité sans flamme, matrice diabolique.

J’ai découvert aussi la fameuse « story »,
Et l’intérêt malsain, que tous vous y trouvez,
Une forme de voyeurisme, de petites mesquineries,
Pouvoir enfin savoir qui nous porte intérêt.
Vous tous, mes fans cachés, soyons donc des amis ?
Pourquoi donc m’espionner, si jamais vous m’aimez ?
Voyons nous pour du vrai, aimons nous dans la vie,
C’est tellement plus utile, dans la réalité.
Pas besoin d’en avoir, des centaines d’amis,
Si on veut qu’ils soient bons, des sincères et des vrais.

Si pour vivre, heureux, il faut vivre caché,
On semble tous malheureux, à ainsi se montrer.
Faut vivre avec son temps, il faut communiquer ?
Tous devant des écrans, loin de la vérité ?
Faut vivre avec son temps, c’est ce que vous direz !
Vous êtes tombés dedans, faut bien le justifier.
Comment faire des enfants dans une telle société ?
Où quand une mère enceinte, le foetus publié.
Pauvres homos sapiens, bêtes dénaturées,
Tout le monde se ressemble, ils ont créé l’armée.
Tu parles d’un modèle, loin d’être équilibré,
Plus personne n’a ses ailes, ça ne peut m’inspirer.

A ceux qui ne voit pas le danger de tout ça,
Je dirais bon courage, vous êtes dans le brouhaha.
J’aurai écrit ce jour, le fond de ma pensée,
Et c’est en regardant, en premier mon reflet,
Que j’ai pu constater, le miroir tragique,
De mon être diminué, d’être plus égocentrique,
De cette solitude, disproportionnée,
Par mauvaise habitude d’être mal connectés.
Même les plus grandes stars, se sont toutes faites happées,
Cela prouve que l’ego, n’est jamais rassasié.

Pourtant si connectés, mais de plus en plus seuls,
Très loin de la sagesse et de la liberté,
Tous plus autocentrés, chacun pense qu’à sa gueule,
La nature m’attend, elle a plus à donner.
Pour éviter l’enfer, faut le voir pour dire non,
Pour être libre sur terre, il faut se révolter,
Ca demande énergie de vivre en rébellion,
C’est tellement plus simple, la facilité,
Surtout quand tout le monde est dans l’acceptation,
Quand on est une rebelle, on est vite écarté.
Mais je préfère ma vie, libre, que d’être un pion,
Même si ma vie est lutte, l’honneur est à la clé.

Depuis un an gâché, sur cette application,
J’ai pu analyser, le pourquoi du comment,
Pour aujourd’hui poser, la ferme décision :
Ca y’est c‘est terminé, j’ai trop perdu de temps.
Même les intelligents, finiront tous cons,
Alors pour l’éviter, je serai plus client.
Je vous en pris humains, retrouvez la raison !
Elevez vous un peu et regardez devant,
Car ce qui vous attend, c’est de vivre en prison,
Comme des marionnettes, perdues dans ce tourment.

Je serai le changement, que je veux dans ce monde,
Je refuse fermement, de devenir machine !
Je m’en vais dès maintenant, dégagée de ses ondes,
Qui nous rendent dépendants, pire que la cocaïne.
Je me retire maintenant, sans perdre une seconde,
Je ne veux pas de place, dans ce monde de fouines.
J’espèrerai secrètement, que la nature gronde,
Pour vivre pleinement, loin de ce qui nous ruine.
Je rêverai en silence, que tout cela explose,
Pour qu’on ai plus le choix, que de se retrouver,
La seule solution pour tous vivre en osmose,
C’est surement qu’il n’y ait plus, ces smartphones endiablés.

 

La paix ne paye pas

 Pourquoi pas un Jésus
Comme chef de la Tribu ?
Un homme bon, courageux,
Sincère et vertueux,
Un modèle de droiture,
Beau, pur comme la Nature,
Un homme de vérité,
Un homme qu’on peut aimer.

Pourquoi pas un Gandhi
Comme tête du pays ?
Un homme juste et de cœur,
Ni voleur ni menteur,
Un modèle exemplaire,
Qu’éliminerait  la guerre,
Un grand homme de confiance,
Qui coulerait la finance.

 Pourquoi pas un Buddha,
Ou le Dalaï-lama ?
Un homme de compassion,
Anti consommation,
Philosophe de respect,
Prôneur de la paix,
De tous ses beaux dictons,
Amènerait-il l’action?    

Et pourquoi pas le Pape ?
En serait-il cap ?
Un homme sans pêché,
Emblème de Sainteté,
Modèle de gratitude,
Et de belles attitudes.
Qu’il dirige le monde,
Pour que l’amour inonde !

« Car la paix ne paye pas,
La guerre fait un tabac.
Travailler nos vertus,
On s’en est bien foutu.
On nous vend l’illusion.

De rêves qui n’sont pas bons,
Du système, les poissons,
On est mort à l’hameçon. »

Le changement c’est pour quand ?

« Ils nous chantent tous de belles chansons,  souvent à tort plus qu’à raison.

Où est le vrai, où est le faux ?  Ils ne savent jouer que du pipeau.

Mais où est-il le vrai changement ? Mais où est-il concrètement ?

Nous on attend, tous, patiemment. »

 Ils nous polluent, pauvres esprits, grand méchants loups, nous les petits.

Avec leur savoir à tout va, pour qui se prennent tous ces gens-là ?

Ils emprisonnent nos regards, nous faisant boire tout leur savoir.

On tourne en rond, comme des bouffons, à cause de toutes leurs décisions.

 On en peut plus d’être des machines, pas besoin de toutes vos usines.

Vous appelez ça l’évolution, j’appelle cela la destruction.

On en veut plus des financiers, ils sont trop lourds à digérer.

Bande de picsous, trois franc six sous, maintenant à vous d’être à genoux.

 Ils manipulent de leurs ficelles, Pour nous brûler ainsi les ailes.

Avec leurs sciences et religions, mais tout ceci n’est que fiction.

Ils s’ennuient tant qu’ils font la guerre, tout ça pourquoi ? Pour de la terre.

Le monde est grand, on a peu d’temps, alors le changement c’est maintenant.

 Ils nous ont fait perdre patience, aujourd’hui on a pris conscience.

Allez, allez, résolution, on en a marre d’être des moutons !

Ils nous ont fait perdre patience, aujourd’hui on a pris confiance.

Allez, allez, Révolution , on est nombreux , alors ACTION !

 

L’Amour de mon Rêve

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Un amour vrai et doux, si fort et si sincère,
Qui contre toute épreuve, resterait solidaire,
Où jamais le mensonge, ne pourrait exister,
D’une parfaite empathie, et d’un profond respect.
Un amour d’exception, amour exceptionnel,
Sans aucune destruction, un amour passionnel.

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Un amour qui se suffit, au reste de la terre,
Les meilleurs amis, comme des sœurs et frères,
Où personne ne domine, parfaite égalité,
Où personne ne s’abime, on ne fait que s’élever.
Un amour pur et dur, un amour courageux,
Où malgré le monde fou, nous n’sommes jamais peureux.

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Un amour créatif, rebelle et généreux,
Où l’on serait la muse, à chacun de nous deux,
Sur le même chemin, juste ensemble à créer,
En parfaite harmonie, ayant les mêmes pensées.
Un amour animal, un amour enfantin,
Un amour idéal, un amour surhumain.

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Oh grand jamais de doute, une éternelle confiance,
Tout au long de la route, notre union l’évidence.
Un amour exclusif, extrêmement fidèle,
Un amour excessif, un amour éternel.
Un amour véritable, au delà de l’égo,
Où dans un même miroir, c’est l’autre qu’on trouve beau.

Je rêve d’aimer quelqu’un, bien plus que moi-même,
Et que cette personne, m’aime plus qu’elle ne s’aime.
Qu’on partage les mêmes rêves, sans la moindre concurrence,
Parfaits complémentaires, chacun ses compétences.
Qu’on soit toujours d’accord, jamais un seul conflit,
Que ça coule de source, sur notre fleuve de vie.
Amour de cœur, d’esprit, un amour sans effort,
Un amour pour toujours, à la vie à la mort.

 

Lumière et Obscurité

Comme la fleur du lotus, au parfum délicieux, 
Prend racine cependant, au fin fond de la boue,
Il se peut que l’astuce, pour briller de son mieux,
Soit d’être clairvoyant, de nos gestes les moins doux.


Comme la plante du cactus, se montre dure et piquante,
Pourtant s’orne de bourgeons, d’une soyeuse beauté. 
Pour croître il faut focus, sur nos faces affligeantes,
Pour qu’ensuite, tout le bon, puisse irradier.


Tout comme Vénus née, du ramas de l’écume, 
Pourtant, elle, la déesse, de la somptuosité.
C’est sous notre saleté, au cœur de l’amertume,
Que se cachent les richesses, d’une profonde beauté.


 

Nature de l’Amour

Il y a des idylles, qu’on appelle : passions,
Elles nous font chavirer, les cœurs en leurs corps,
Par des parfums subtils, enveloppent le poison,
De la calamité des futurs désaccords.
 
Il y a des liaisons qu’on baptisera : fatales,
Contre des formes harmonieuses, d’inconciliables esprits,
La précipitation à s’unir peut faire mal,
Quand la robe trompeuse est alors démunie.
 
Il y a des histoires qui doivent être vécues,
Non pas pour durer mais pour nous endurcir,
Par l’effet du miroir de nos maux défendus,
Qu’il nous faut regretter, plutôt que de les fuir.
 
Il y a des unions, peureuses, les plus banales,
D’habitudes, de confort, de profits, d’intérêts,
D’identiques confections, sans vagues déraisonnables,
Qui ne font nul tord qu’à celles qui sont en paix.
 
Il y a une morale, qu’il nous faut découvrir,
Derrière le lourd chagrin, que l’amour peut causer.
Plus l’épreuve fait de mal, plus elle peut faire grandir,
La clé est en nos mains, les leçons à tirer.
 
Il y a des aventures, que la vie a souhaitées,
Pour nous ouvrir les yeux, induire l’évolution,
Mais au fond, la nature n’a qu’une vraie destinée,
Nous duper de son mieux, pour la reproduction.
 
 
 
 
 

Diable de Tasmanie

 « Je Suis un diable de Tasmanie,
Ma seule défense c’est mon cri.
Lorsque je me sens agressée,
C’est ma nature que de brailler,
Pour qu’on me fuit, pour faire le tri,
Mais au fond timide et gentil.
Une espèce en voie d’extinction,
Soyez tranquille, population ! »

J’ai des principes dont je suis fière,
Je les attends des miens aussi,
D’être solidaire et sincère,
Si tu te dis être mon ami,
Si tu m’esquives dans la galère,
Ou alors que tu me trahis,
Tu déclencheras le signe de guerre,
Avec mes mots, j’anéantis.
Faut jamais provoquer mes nerfs,
Si tu veux pas un tsunami.
C’est ma nature que d’être entière,
Mes ennemis sont pas des amis.
L’injustice m’enrage de colère,
Tout autant que la fourberie.
Si je te croyais être un frère,
Que tu m’as dupé de tromperie,
J’exploserai comme le nucléaire,
Tu te sentiras tout petit,
Ma lave sortira du cratère,
Pour nettoyer ton infamie.
Etre faux jeton à quoi ça sert ?
Pourquoi jouer cette comédie ?
Etre faux gentil, pourquoi faire ?
Va donc voir ailleurs si j’y suis !
C’est ma nature, mon caractère,
Je connais pas l’hypocrisie,
Presque toujours, ça me dessert,
Je suis intègre à être ainsi.
Je suis plus sure en solitaire, Ils sont très rares sous mon abri.
Je me fous d’être populaire,
S’il faut ruser de duperies.
Je suis animal dans ma chair,
Je connais pas la sournoiserie,
J’ai de l’instinct, un puissant flair,
Ton mensonge n’aura pas longue vie,
Si ton obscur n’est pas clair,
Je te balaye sans compromis. Je m’adapterai pas pour plaire,
Si tu m’aimes ce sera ainsi.

Liberté

On m’avait dit de me méfier,

Que tu me causerai des tracas,

Que tu étais bien trop risqué,

Que tout s’achète dans ce monde là,

Qu’il me faudrait dur travailler, 

Sinon je te connaîtrai pas.

On m’avait mal parlé de toi , 

Lorsque je n’étais qu’une enfant,

Je te sentais plus fort que moi , 

Vouloir jaillir, naturellement, 

Ces règles je n’en voulais pas,

Pour te connaître, fallait dire Non.

Je n’ai donc écouté que moi, 

Partie avec mon balluchon,

Guidée par ma petite voix,

Et je suivais mes intuitions, 

C’était pas simple ici et là,

Mais ce fut mille et une leçons.

En étant libre j’ai fait le choix,

De fuir la facilité, 

Me baladant de toit en toit,

J’ai fait ma personnalité, 

Dans un seul but , me trouver moi,

Sans autre loi qu’être spontanée. 

Je t’ai gardé coûte que coûte,

Contre ce qui pouvait m’enchaîner,

Des choses des gens m’ont mis le doute,

Mais dans leurs cages , emprisonnée,

Il m’a fallu reprendre ma route, 

Car sans toi j’aurai pu crever.

Tel un oiseau les ailes planant, 

Là ou mon coeur me portera, 

La liberté ça rend vivant, 

La liberté ne s’achète pas, 

La liberté c’est le vivant, 

La liberté c’est notre droit.

A Toi mon Etoile

Pour te voir émerger, sur la côte de ma vie,
Je tirerai ton portrait, d’âme-sœur chérie.
Décrirai trait par trait, ton cœur et ton esprit,
Pour ainsi te chanter et qu’opère la magie.
 
Pour Toi cette chanson, pour te visualiser,
D’intenses répétitions, pour pouvoir t’attirer,
Par la force d’attraction que seront mes pensées,
Gravitation d’aimants, j’œuvre à te mériter.
 
Je te veux une personne, des plus droites et sincères,
Instinctive, animale, aussi pure que dure,
Altruiste et bonne, honnête et solidaire,
Juste, franche et entière, vénérant la nature.
 
Je désire que ton être, soit fort et courageux,
Justicier et intègre, d’une force calme et patient.
Curieux, original , humble et audacieux,
Toujours rempli de doutes, mais néanmoins, confiant.
 
Sage et philosophe, pourtant libre et rebelle,
Sportif intellectuel, aussi simple que savant,
Doux et tendre sauvage à l’âme spirituelle,
Monogame exclusif, fidèle et rassurant.
 
Lumineux et charmant aussi charismatique,
Mais pourtant ton ego, fort bien équilibré,
Vertueux, loin des vices, je te vois authentique,
Avec pour seul hic, le manque de ta moitié.
 
Il est évident que tu aimes l’art, la musique,
La cuisine, les poèmes, voyages et liberté !
Toutes tes actions de vie sont belles et héroïques !
Je te regarde sans fin, touchée, impressionnée.
 
J’imagine que tu es solide et sans peur,
Même si tu oses montrer quand quelque chose t’émeut.
Tu es un homme humain, protecteur, au grand cœur,
Réel aventurier, moitié ange, moitié Dieu.
 
Je te vois dans les actes, même si tu aimes les mots.
Je te vois respectant profondément la femme.
Je te vois dans le vrai, ayant horreur du faux.
Social mais discret, pour moi tout feu tout flamme !
 
Ton cœur préfère être seul, que mal accompagné,
Et plus le temps passa, plus il est exigeant.
A force d’expériences, tu sais bien qui tu es,
Et celle que tu veux, et celle qui t’attend.
 
Et si de ton côté, tu peignais le tableau,
De la femme dont tu rêves, de la seule qu’il te faut,
Bel et bien évident que je pourrai y voir,
Le reflet de moi-même, dans le jour comme le noir.
 
Comme ton âme est belle, tu le seras aussi,
Dans tes yeux de lumière, on voit la vérité.
Aussi rare qu’unique, oiseau du paradis,
Tu voles haut vers moi, je te sens accoster.
 
Toi ma très chère étoile je sais que tu m’entends,
Toi mon ange spécial, aussi drôle que touchant,
Toi ma bête idéale, je te rêve ardemment !
Allons mettre les voiles pour des jours hors du temps.
 
 

Beauté Physique

 

La beauté physique, elle a des standards,

C’est mathématique, avec un code barre.

La beauté physique, est aléatoire,

Elle n’a pas d’éthique, elle est dérisoire.

La beauté physique, trompe le miroir,

Le psychologique,  est dans le brouillard.

La beauté physique, est souvent une tare,

Elle rend narcissique, voir même vantard.

La beauté physique,  est un faire-valoir,

Une emblématique, qui donne du pouvoir.

Ce monde pathétique , nous a tous faire croire,

Que la beauté physique, est synonyme de gloire.

La beauté physique,  elle est illusoire,

Elle rend amnésique ,  empêche de bien voir.

La beauté physique, une belle œuvre d’art,

Qui devient tragique, quand on tourne vieillard.

Beauté esthétique, une forme provisoire,

Notre fond unique,  le seul bel espoir.

La beauté physique, elle part tôt ou tard,

Sans un beau psychique,  sortez vos mouchoirs !

 

La Mode à la Mort – La Mort à la Mode

 

La mort est-elle donc à la mode ? Où es-ce la mode qui se meurt ?
La vie me semble à l’antipode, de cette mode sans chaleur.
Où sont les années quatre-vingt ? Pourquoi rapidement oubliées ?
Catastrophique, c’est le déclin, d’une mode qui ne fait pas rêver !
Elles sont passées où les couleurs, qui nous rappelaient à la vie ?
Toutes ces tenues me font grand peur, nous sommes tout triste, nous sommes tout gris !
La mode est représentative de l’ambiance de notre société,
Elle est morbide et régressive, elle tue la personnalité !
Les hommes en pantalons moulants ? Bientôt, ils finiront en jupes.
Aucune allure, c’est déroutant ! Pour les porter il faut être dupe !
Ou tout ces pantalons bouffants, comme si tu t’étais fait dessus !
C’est ironique, déconcertant ! Non mais tu t’es vu ou t’as bu ?
Ces tenues sombres tels des vampires, on dirait tous des morts-vivants !
Tu peux oublier les sourires, ils n’iraient pas bien là-dedans !
Il se cache où notre bonheur ? Elle est passée où la beauté ?
Faisons revivre la fraîcheur, habillons nous de la gaieté !
La nature est pourtant si belle, il serait bien d’être raccord,
On devrait tous s’inspirer d’elle, pour être beaux dans son décor.
L’apparence est un premier pas, le beau est la simplicité.
Nul besoin donc d’en faire des tas, ni de casser son porte-monnaie.
Peut-être qu’en changeant la mode, on vivrait dans un plus beau monde…
Si on se met de nouveaux codes, pour dégager de meilleures ondes.
L’extérieur se voit en premier, c’est ce qu’on regarde dans la rue.
On ne risque pas de s’aimer, quand nous sommes tous si mal vêtus !
Un peu d’originalité, et d’élégance dans nos tenues.
En quelque sorte du respect, pour la vie et l’individu.

 

Gouvernement du Peuple, par le Peuple, pour le Peuple.

 
 
 
C’est difficile d’être heureux, sans avoir beaucoup d‘ignorance,
J’estime que c’est fort désastreux, de faire impasse sur la souffrance,
Que vivent tant de gens, c’est honteux, de se complaire dans l’innocence,
D’avoir à se fermer les yeux, quelle égoïste vaine existence,
C’est lamentable et douloureux, l’individualisme en puissance.
J’ai choisi d’être impétueux, pour agir en pleine conscience,
J’ai choisi d’être courageux, même si j’y perds en prééminence,
J’ai choisi d’être généreux, car ça détruit l’indifférence,
J’ai choisi de faire de mon mieux, pour que ma vie ait un vrai sens,
Je défends le coté de ceux, qui ne connaissent pas le mot : chance.
 
C’est l’heure de déclencher la guerre, sans armes, pas comme vous : barbares !
Nous on vomit vos sales manières, c’est l’heure où le peuple prend pouvoir,
On sait ce qu’il nous reste à faire, on est en masse devant le phare,
On va se battre pour notre terre, pour l’équité, pas les dollars,
Pour démolir toutes vos frontières, pour mettre fin à ce cauchemar.
Vos publicités mensongères, plus personne ne pourra y croire.
Pour l’économie et la terre, on unira tous nos savoirs,
On dictera ce qu’il faut faire, vous n’aurez qu’à le faire valoir.
On s’unira tous solidaires, car la justice est un devoir,
Nous les peuples nous peuplons la terre, unis on est remplis d’espoir.
 
Ca vous aura bien arrangé, de nous faire manger toutes vos guerres,
Bien plus simple une fois divisé, que le peuple n’ose plus rien faire,
Cette fois ci vous êtes démasqués, le peuple est enfin en colère,
A vous de nous dédommager, on va partager vos salaires,
Sans le peuple vous pouvez plus jouer, sans le peuple vous êtes la misère.
Nous seuls on peut se débrouiller, sans nous vous êtes des grabataires.
On ne va plus jamais lâcher, on est de nombreuses sœurs et frères,
A se foutre de nos intérêts, à la connaître la galère,
Ce défi on va le relever, par la force d’union salutaire.
Plus rien ne va nous arrêter, à vous de faire votre prière !
 
Elle n’est à personne notre terre, ses richesses doivent être partagées.
C’est notre nid, mère nourricière, elle mérite le plus grand respect.

Notre-Dame

 
Serait-ce une utopie, d’ardemment souhaiter,
Que nos gouvernements, lancent des appels aux dons,
Alarmés d’empathie, face au vivant bafoué,
Remplis de sentiments, de sincères émotions,
Pour tout ce qui est Vie, d’un immense respect,
Comme pour leurs bâtiments, qui leurs donnent des frissons ?
Mais leur « egocratie » accorde plus d’intérêt,
Aux illustres monuments, prétentieuses créations,
Qui ne donnent ni la vie, ni à boire et manger,
Mais l’argent est présent, pour les œuvres des maçons,
Vicieuse hypocrisie, devant une Terre fauchée,
Indéniablement, nous sommes pris pour des cons.