J’ai envie aujourd’hui, de penser constructif,
Au sujet de l’humain, de toutes ses qualités,
En posant à l’écrit, seulement le positif,
Peut-être que demain, en sera bonifié.
Si avec mon esprit, qui se veut créatif,
J’utilise mes mains, pour décrire la beauté,
Peut-être que par magie, l’ensemble du négatif,
S’envolera du chemin d’une triste réalité.
Merci aux inventeurs, de tous les instruments,
Qui font naitre la musique, en divine beauté,
Amenant à l’union et aux rassemblements,
Du reggae au classique, des peuples du monde entier,
Partageant l’émotion, depuis la nuit des temps,
Rien de plus magnifique, d’en chanter d’en danser.
Vibrante de frissons, touchante de sentiments,
Rien n’est plus bénéfique, qu’elle puisse exister.
Merci aux créateurs, pour l’art du cinéma,
Aux réalisateurs qui m’inspirent tant de fois,
Grâce auxquels j’aurai pu m’évader des soucis,
Tant de films merveilleux, conçus par des génies.
J’en aurai voyagé, tout en restant chez moi,
Pleurer ou rigoler, apprendre sur l’autre ou soi.
Merci actrices, acteurs, sincères et investis,
Qui jouent avec leurs cœurs, les histoires de nos vies.
Merci tous les grands hommes, philosophes, écrivains,
Peintres et musiciens, poètes et chanteurs,
Chacun avec sa forme, son amour et ses mains,
Partagent pour le bien, les visions de leurs cœurs.
Simples ou bien hors-normes, ils inspirent le divin,
De la sève coulant dans leurs corps créateurs,
Comme sous l’effet d’opium, ils frôlent le devin,
De leur imaginaire, à l’œil observateur.
Merci aux acrobates, grands sportifs ou danseurs,
Qui m’impressionnent tant pars leurs prouesses physiques,
Confiantes et adroites, le fruit des travailleurs,
Prouvent qu’avec le temps, et beaucoup de pratique,
Nous autres, simples primates, cherchant à être meilleurs,
D’esprits intelligents, frôlant le fantastique,
Sans être des automates, on peut vaincre la peur,
Sans être des magiciens, on peut être magiques.
Merci aux médecins, pour l’anesthésie,
Sans laquelle la torture aurait pu perdurer,
A tous ses beaux humains, qui souvent sauvent des vies,
Car ils font leur travail de manière passionnée.
Infirmières et psychiatres, qui ont de l’empathie,
D’une sincère écoute, pour comprendre et aider,
En donnant de leur cœur plus que des produits,
A tant de gens perdus, qui manquent d’être aimé.
Merci aux inventeurs d’avoir créé l’avion,
Grâce à qui j’aurai pu, voir la diversité,
Sans lequel la virée était une longue mission,
Et mon petit esprit, enfermé, étriqué,
Aurait difficilement élargit sa vision,
A voir toutes les richesses de beaucoup des contrées,
Dans lesquelles j’ai tiré tellement d’inspirations,
Réaliser ma chance et relativiser.
Merci aux créateurs pour ses précieux vêtements,
Qui peuvent nous réchauffer, aussi nous sublimer,
A la base très utiles, œuvres d’art dans le temps,
Ils permettent d’exprimer une personnalité.
Merci aux petites mains, qui passent tout leur temps,
A travailler durement dans l’ombre de l’atelier,
Elles méritent des honneurs, et des applaudissements,
Même si ce n’sont pas elles qui obtiennent les idées.
Merci aux cuisiniers, chefs hommes et femmes,
Pour ces mets délicieux, dans leurs formes et leur fonds,
C’est vital de manger pour nos corps et nos âmes,
C’est un art la cuisine, précieuse restauration .
Merci pour le feu, le four et les flammes,
Sans lesquels, impossible, de produire une cuisson,
Merci déesses et dieux, messieurs et mesdames,
De nourrir le monde, de bienfaisantes façons.
Merci à tous les juges, aussi aux avocats,
Qui défendent l’honneur pour la vérité,
Se foutant du profit, là pour de justes combats,
Pour ça prendrait le risque d’en perdre leurs intérêts.
Car la Nature, elle, nous donne que du beau,
Elle ne sait fabriquer que justice et pureté,
Quand les œuvres de l’humain produisent le chaos,
Parler d’utilité devient piètre vanité.
Merci aux professeurs qui permettent aux enfants,
D’acquérir par eux-mêmes leur unique vision,
D’apprendre avec le cœur, en les intéressant,
Sans jamais les pousser vers la compétition,
Pour devenir qui ils sont, pas des soldats d’armée,
Enseignant l’ouverture, la liberté d’esprit,
Sans jamais imposer, mais toujours inspirer,
Leur inculquant aussi que nous sommes tous unis.
Merci aux artisans, qui protègent notre terre,
En refusant fièrement, le moindre produit chimique,
Même si cela pourrait les rendre plus prospères,
Le plus : l’ennemi du bien, en valeur d’éthique.
Merci aux bénévoles, acteurs humanitaires,
Pour leur grand altruisme, aux combats homériques.
Merci à tous les hommes qui refusent la guerre,
Car ils œuvrent pour la paix de manière héroïques.
Merci aux protecteurs d’enfants et d’animaux,
Qui pour les préserver, se battent courageusement,
Merci à ces sauveurs, merci à leurs cerveaux,
D’avoir du respect pour chaque être vivant.
Merci à tous ceux qui, font quelque chose de beau,
Motivés par passion mais jamais par l’argent,
Qui appliquent la justice, soutiennent des idéaux,
Ils sont tous des modèles, réellement inspirants.
J’honore chaque progrès qui sert à l’être l’humain,
Sans jamais l’affaiblir ou détruire l’univers,
Merci à tous les cœurs, qui ne servent que le bien,
Sans vouloir être des dieux, humbles face à la terre-mère.
Le plus grand des mérites, revient aux êtres humains,
Qui défendent Dame-Nature, notre mère nourricière,
Qui nous donne de l’eau, et de quoi faire le pain,
Et a qui nous devons notre vie sur la terre.
Merci à tous ceux qui savent tendre une main,
Sans attendre pour autant un quelconque retours,
Aux pauvres dans la rue, à ceux qui ont besoin,
J’aime tant ressentir la connexion d’amour.
Merci aux inconnus qui partagent des sourires,
Rayonnants de chaleur, d’humanité en vue,
Cela réchauffe mon cœur, m’anime l’envie de vivre,
Et j’en garde l’espoir que tout n’est pas perdu.