L’homme est la seule erreur des Dieux

Dieu-Nature crée de l’air,

De l’eau, de la lumière,

Aussi la sève, la terre,

Pour les arbres et les fruits.

L’homme produit des enfants,

Eduqués à l’enfer,

Pour l’pouvoir et l’argent,

Détruisent le paradis.

Dieu-Nature bénévole

Donne sans rien demander,

Les humains, eux, la volent,

Pour la vendre, la polluer !

Où donc se trouvent les Dieux ?

Entre homme et nature ?  

Un peu d’humilité,

Marionnettes miniatures !

Les Dieux sont généreux,

Offrent tout gracieusement,

Les hommes, si prétentieux,

Meurent sans leurs éléments !

 

 

Inutile de haïr, les cruels dirigeants, 

Envoyons de l’amour, pour qu’ils arrêtent l’infâme !

Car c’est l’amour qui manque, aux suppôts de Satan,

Car c’est l’amour qui manque, aux hommes sans états d’âmes, 

Notre haine les renforce, à se sentir puissant,

Et le plus triste drame, détruit notre présent. 

Intelligence des Sens – L’intelligence est SENS

L’intelligence artificielle, c’est la prochaine destination,

L’intelligence artificielle, elle est non-sens et perdition,

L’intelligence artificielle, c’est le but de leurs décisions,

L’intelligence artificielle, nouvelle normale d’adaptation,

L’intelligence artificielle, faite de règles de distanciations,

L’intelligence artificielle, c’est notre cœur mis en prison,

L’intelligence artificielle, c’est un humain sans émotion,

L’intelligence artificielle, c’est leur projet, leur vocation,

L’intelligence artificielle, c’est la plus grande aliénation,

L’intelligence artificielle, rien que le mot donne des frissons,

L’intelligence artificielle, l’artificiel c’est du bidon !

L’intelligence sensorielle, ils veulent la tuer pour pour leur mission,

L’intelligence sensorielle, elle est amour et sensations,
L’intelligence sensorielle, elle est nature elle est union,

L’intelligence sensorielle, elle est sacrée, un précieux don,

L’intelligence sensorielle, elle donne les plus belles créations,

L’intelligence sensorielle, elle est le vrai, elle est le bon.

L’intelligence sensorielle, elle est beauté et perfection.

L’intelligence sensorielle, c’est toujours elle qui a raison.

L’intelligence sensorielle, elle est l’ennemi des démons,

L’intelligence artificielle, c’est Lucifer la destruction,

L’intelligence artificielle, elle est la mort, elle est poison.
L’intelligence artificielle , elle contrôle la population.

L’intelligence artificielle, c’est le changement, la mutation,

L’intelligence artificielle, l’humanité en extinction,

L’intelligence artificielle, pour tuer nos sens faut être un con !

L’intelligence artificielle, passera par la vaccination.

L’intelligence sensorielle, c’est nos sens en ébullition.

L’intelligence sensorielle, c’est la seule qui mérite ce nom,

L’intelligence sensorielle, mérite toute notre attention,

L’intelligence sensorielle, elle est l’unique bénédiction,

L’intelligence sensorielle, mérite une grande protection.

L’intelligence sensorielle, elle est la vie, ma religion.

Mascarade Démasquée

A vous tous, dirigeants, soit disant dépassés,

Quelques questionnements, que je dois étaler.

Vous semblez si soucieux, de notre bonne santé,

Qu’il est plus que curieux, ces masques imposés,

Qui empêchent de sourire, plus grave, de respirer.

Mais vous me faites rire, à si bien les porter,

Ils vous vont comme un gant, vous êtes si beaux, cachés,

Et on ne vous entend, presque plus, c’est parfait !

Vous qui êtes éclairés, êtres humains des lumières,

Ayez peur du revers, de vos actes meurtriers !

 

A vous tous, parents, soit disant concernés,

Par le bien d’vos enfants, innocents protégés,

Si dans toutes leurs écoles, on ne leur apprend pas,

Qu’respirer et sourire, sont deux nécessitées,

Absolument vitales, pour vivre en bonne santé,

Je ne comprends donc pas, comment y envoyez,

Le fruit de vos entrailles, vos mômes adorés,

Etes-vous bien conscients, ou tous hypnotisés ?

Accepter leur réforme est pire que l’imposer.

 

Combien de temps faut-il, pour mourir étouffer ?

Dessous un oreiller, quelques minutes à peine ?

Alors imaginez, quels seront les problèmes,

De toutes celles et ceux, qui auront concédé,  

Aux chambres à gaz modernes, sournoises, dissimulées,

Des masques muselières, 12 heures par journée.

Il est sûr qu’à court terme, le monde va s’asphyxier,

Se pensant plus sécures, sous leurs masques de saletés,

Les moutons de panurges vont droit se suicider.

Même si virus il y a, car ils l’ont fabriqué,

Ni la peur ni les masques ne sont là pour aider.

 

 

 

Tout le Bien chez l’Humain

J’ai envie aujourd’hui, de penser constructif,

Au sujet de l’humain, de toutes ses qualités,

En posant à l’écrit, seulement le positif,

Peut-être que demain, en sera bonifié.

Si avec mon esprit, qui se veut créatif,

J’utilise mes mains, pour décrire la beauté,

Peut-être que par magie, l’ensemble du négatif,

S’envolera du chemin d’une triste réalité.

  

Merci aux inventeurs, de tous les instruments,

Qui font naitre la musique, en divine beauté,

Amenant à l’union et aux rassemblements,

Du reggae au classique, des peuples du monde entier,

Partageant l’émotion, depuis la nuit des temps,

Rien de plus magnifique, d’en chanter d’en danser.

Vibrante de frissons, touchante de sentiments,

Rien n’est plus bénéfique, qu’elle puisse exister.

 

Merci aux créateurs, pour l’art du cinéma,

Aux réalisateurs qui m’inspirent tant de fois,

Grâce auxquels j’aurai pu m’évader des soucis,

Tant de films merveilleux, conçus par des génies.

J’en aurai voyagé, tout en restant chez moi,

Pleurer ou rigoler, apprendre sur l’autre ou soi.

Merci actrices, acteurs, sincères et investis,

Qui jouent avec leurs cœurs, les histoires de nos vies.

 

Merci tous les grands hommes, philosophes, écrivains,

Peintres et musiciens, poètes et chanteurs, 

Chacun avec sa forme, son amour et ses mains,

Partagent pour le bien, les visions de leurs cœurs.

Simples ou bien hors-normes, ils inspirent le divin,

De la sève coulant dans leurs corps créateurs,

Comme sous l’effet d’opium, ils frôlent le devin,

De leur imaginaire, à l’œil observateur.

 

Merci aux acrobates, grands sportifs ou danseurs,

Qui m’impressionnent tant pars leurs prouesses physiques,

Confiantes et adroites, le fruit des travailleurs,

Prouvent qu’avec le temps, et beaucoup de pratique,

Nous autres, simples primates, cherchant à être meilleurs,

D’esprits intelligents, frôlant le fantastique,

Sans être des automates, on peut vaincre la peur,

Sans être des magiciens, on peut être magiques.

 

Merci aux médecins, pour l’anesthésie,

Sans laquelle la torture aurait pu perdurer,

A tous ses beaux humains, qui souvent sauvent des vies,

Car ils font leur travail de manière passionnée.

Infirmières et psychiatres, qui ont de l’empathie,

D’une sincère écoute, pour comprendre et aider,

En donnant de leur cœur plus que des produits,

A tant de gens perdus, qui manquent d’être aimé.

 

Merci aux inventeurs d’avoir créé l’avion,

Grâce à qui j’aurai pu, voir la diversité,

Sans lequel la virée était une longue mission,

Et mon petit esprit, enfermé, étriqué,

Aurait difficilement élargit sa vision,

A voir toutes les richesses de beaucoup des contrées,

Dans lesquelles j’ai tiré tellement d’inspirations,

Réaliser ma chance et relativiser.

 

Merci aux créateurs pour ses précieux vêtements,

Qui peuvent nous réchauffer, aussi nous sublimer,

A la base très utiles, œuvres d’art dans le temps,

Ils permettent d’exprimer une personnalité.

Merci aux petites mains, qui passent tout leur temps,

A travailler durement dans l’ombre de l’atelier,

Elles méritent des honneurs, et des applaudissements,

Même si ce n’sont pas elles qui obtiennent les idées.

 

Merci aux cuisiniers, chefs hommes et femmes,

Pour ces mets délicieux, dans leurs formes et leur fonds,

C’est vital de manger pour nos corps et nos âmes,

C’est un art la cuisine, précieuse restauration .

Merci pour le feu, le four et les flammes,

Sans lesquels, impossible, de produire une cuisson,

Merci déesses et dieux, messieurs et mesdames,

De nourrir le monde, de bienfaisantes façons.

 

Merci à tous les juges, aussi aux avocats,

Qui défendent l’honneur pour la vérité,

Se foutant du profit, là pour de justes combats,

Pour ça prendrait le risque d’en perdre leurs intérêts.

Car la Nature, elle, nous donne que du beau,

Elle ne sait fabriquer que justice et pureté,

Quand les œuvres de l’humain produisent le chaos,

Parler d’utilité devient piètre vanité.

 

Merci aux professeurs qui permettent aux enfants,

D’acquérir par eux-mêmes leur unique vision,

D’apprendre avec le cœur, en les intéressant,

Sans jamais les pousser vers la compétition,

Pour devenir qui ils sont, pas des soldats d’armée,

Enseignant l’ouverture, la liberté d’esprit,

Sans jamais imposer, mais toujours inspirer,

Leur inculquant aussi que nous sommes tous unis.

  

Merci aux artisans, qui protègent notre terre,

En refusant fièrement, le moindre produit chimique,

Même si cela pourrait les rendre plus prospères,

Le plus : l’ennemi du bien, en valeur d’éthique.

Merci aux bénévoles, acteurs humanitaires,

Pour leur grand altruisme, aux combats homériques.

Merci à tous les hommes qui refusent la guerre,

Car ils œuvrent pour la paix de manière héroïques.

 

Merci aux protecteurs d’enfants et d’animaux,

Qui pour les préserver, se battent courageusement,

Merci à ces sauveurs, merci à leurs cerveaux,

D’avoir du respect pour chaque être vivant.

Merci à tous ceux qui, font quelque chose de beau,

Motivés par passion mais jamais par l’argent,

Qui appliquent la justice, soutiennent des idéaux,

Ils sont tous des modèles, réellement inspirants.

 

J’honore chaque progrès qui sert à l’être l’humain,

Sans jamais l’affaiblir ou détruire l’univers,

Merci à tous les cœurs, qui ne servent que le bien,

Sans vouloir être des dieux, humbles face à la terre-mère.

Le plus grand des mérites, revient aux êtres humains,

Qui défendent Dame-Nature, notre mère nourricière,

Qui nous donne de l’eau, et de quoi faire le pain,

Et a qui nous devons notre vie sur la terre.

 

Merci à tous ceux qui savent tendre une main,
Sans attendre pour autant un quelconque retours,

Aux pauvres dans la rue, à ceux qui ont besoin,
J’aime tant ressentir la connexion d’amour.
Merci aux inconnus qui partagent des sourires,

Rayonnants de chaleur, d’humanité en vue,

Cela réchauffe mon cœur, m’anime l’envie de vivre,

Et j’en garde l’espoir que tout n’est pas perdu.

 

 

L’Amour – La Vie

 

Dense profond trou noir,

Vive infinie lumière,

Tous deux les éléments,

De forces bien contraires,

 S’attirent comme des aimants,

Du ciel jusqu’à la terre,

D’attraction , répulsion,

Fusion d’air et matière,

 Mélange d’âme et d’esprit,   

De coeur et de chair.

Ensemble on est la vie,

L’un sans l’autre,  l’enfer.

 

Dame Nature pour Futur

Tu es la seule peinture, qui peut m’émerveiller,
De toutes tes créatures, des oiseaux liberté,
Parfaite Dame Nature, tu nous as tout donné,
De l’eau et nourriture, on te doit grand respect.
Des tes arbres majestueux, de tes fruits suspendus,
Aux paysages somptueux, de cette vie absolue.
De tes montagnes sacrées, de l’eau qui donne vie,
Tes rivières enchantées, c’est toi le paradis.
La beauté de tes fleurs, l’odeur qui en ressort,
Magie de tes couleurs, spectacle de ton décor,
L’équilibre parfait, de ta faune et ta flore
La richesse cachée, de ton acier et d’or.
De tes ciels étoilés, la lumière du soleil,
De ta lune éclairée, mystère de tes merveilles.
Et en plus de tout ça, tu nous donnes de l’espace,
On n’en profite même pas, comme moutons on s’entasse.
La ville est un mensonge, pour faire la société,
La nature loin d’un songe, la simple vérité.
De ta terre et des cieux, tu nous as donné nid,
Tu nous rends si joyeux, de ta pure énergie,
Tu es le seul vrai Dieu, perfection infinie.
Sans rien nous demander, tu nous as accueillis,
Nous pour te remercier, on pollue, on spolie ?
Pour le plus d’intérêts ? Pour le plus de profits ?
Mon dieu que l’homme est laid, son ego te détruit.
Pas un des monuments, que l’humain a crée,
Ne sera aussi grand, que ta grande beauté.
L’homme a besoin de toi, toi nul besoin de lui,
Si on te respecte pas, on mérite pas la Vie.
Il serait juste temps, d’apprendre l’humilité,
Et de vivre tranquillement, justes, beaux à tes cotés.


 

La Dictature du Bien – Pour ma Terre-Mère

Il est venu le temps, d’entrer en dictature,
Ce monde de profit n’a plus droit au futur,
Si on n’est pas contraint par des nouvelles lois,
L’humain trop paresseux ne fera pas le pas.
On consomme mal et trop, car on nous le permet,
On ne se rebelle pas, car nous sommes assistés.
L’état de notre terre, presque tout l’monde s’en fout,
Tant que c’est chez les autres, cela nous touche pas nous.
Vivre les yeux fermés, nous n’avons plus le temps,
Le drame a trop duré, c’est devenu urgent.
On se proclame l’espèce la plus intelligente,
Va falloir le prouver, là, elle est affligeante.

Il est venu le temps d’entrer en dictature,
Une dictature du bien s’impose pour Dame nature,
Si on n’a pas le choix que de la protéger,
C’est aussi l’être humain que l’on pourra sauvé.
Le dieu profit mondiale n’a plus droit à la vie,
Car c’est à cause de lui que le monde se détruit.
Le beau jardin d’Eden que l’on nous a donné,
L’abuser, le détruire, c’est pire que sept pêchés.
Elle nous donne à manger et à boire notre terre,
Saccager la nature, c’est comme tuer notre mère.
Pourquoi donc messieurs-dames, pour plus de dollars ?
Bande de tueurs infâmes qui abusent du pouvoir !

Il est venu le temps, d’entrer en dictature,
Pour protéger la vie, nos corps, notre nourriture.
De bannir toute la viande, qui cause fort préjudice,
On ne va pas mourir de faire ce sacrifice,
Quand on sait que derrière, la vie peut être sauvée,
Il nous faut l’interdire pour la sécurité.
Désolé pour Charal et tous les autres vendeurs,
On s’en foutra qu’ils râlent, c’est un problème mineur.
On va pas en crever, de devoir s’en passer,
On a déjà la chance d’avoir tant à manger.
La mort de l’industrie, vive l’artisanat !
La confiance plus sure, en ayant moins de choix.

Il est urgent le temps, d’entrer en dictature,
Pour le bien d’nos enfants, et de toutes créatures.
Pas besoin de la guerre, non plus du nucléaire,
Pour l’électricité, on prendra du solaire.
Ils tuent les arbres de vie, ensuite notre santé,
Pour plus de profit, nous sommes contaminés.
D’empoisonner notre terre, et tous ses habitants,
D’avoir créé l’enfer, de polluer l’océan,
Comment peuvent-ils encore regarder leur miroir,
Ils méritent le bûcher, ou alors l’abattoir.
Nos si beaux animaux, bientôt exterminés,
Le profit est fléau de notre humanité.

Il est venu le temps, d’entrer en dictature,
Pour protéger la vie de la moindre torture.
D’interdire le plastique et tous produits chimiques,
Qui rendent la terre stérile, et nous tuent pour du fric.
D’interdire de raser nos montagnes sacrées,
Source de vie et d’eau pour tous nous abreuver.
On a plein de bonnes huiles, abolir l’huile de palme,
Quand on sait que derrière c’est des forêts qui crament.
Ca nous fera grand bien de manger plus sainement,
Des produits naturels faits par des artisans.
Nous n’aurons plus le droit, que de faire le bien,
Nous n’aurons plus le choix, que d’être enfin humain.

Il est venu le temps, d’entrer en dictature,
Pour protéger la vie de la moindre torture.
De vaines paroles encore, la cop 21,
Le changement est encore et toujours pour demain,
Je sais pas ce qu’ils font lors de ces réunions,
Mais franchement on est loin d’une véritable action.
Messieurs-dames vendeurs d’armes ou gros industriels,
Voleurs et destructeurs aux méthodes criminelles,
A partir de maintenant, la loi vous interdit,
De détruire la vie dans le but du profit,
Tout ce qu’il nous faut faire, tient dans une chanson,
Il est simple et gratuit d’agir pour la raison.

Il est venu le temps, d’entrer en dictature,
Pour sauver la planète, arrêter l’imposture.
Interdire de construire, plus haut que trois étages,
Nous ne sommes ni des dieux ni des bêtes en cage.
La ville est un mensonge pour créer la société,
La pyramide profit va devoir s’effondrer.
Une autre éducation, car tout n’est qu’habitude,
Pas de compétition, partage et gratitude.
Une seule religion, pour tous nous rassembler,
L’amour de toute vie, le respect, la beauté.
Ce monde d’injustices en forme pyramidale,
Doit devenir un cercle où chaque homme est égal.

 

Biarritz mon Amour

 

 Biarritz ma belle féerique,
Tu m’auras séduite, fait rêver.
Tes paysages charismatiques,
Me touchent tant, me font vibrer.

De tes beaux arbres, les Tamaris,
Originaux et poétiques,
De ta grande classe, sans artifice,
De tes purs basques, si authentiques.

Toi aussi simple que coquette,
Avec la grâce de tes mouettes.
Marcher pieds nus jusqu’à la plage,
Avec la tête dans les nuages.

Me balader dans tes ruelles,
Avec le temps comme un allié.
Loin des grandes villes, repoussent mes ailes,
Il est vital de respirer.

Ca fait plaisir de rencontrer,
Tant de « bonjour » aux coins des rues,
Une sensation d’humanité, a
vec des passants inconnus.

Aussi sauvage, qu’esthétique,
Biarritz aux vertus salvatrices.
D’une énergie énigmatique,
A l’inspiration créatrice.

Tu es si forte de caractère,
Toi la plus belle ville du monde.
Ton climat, comme moi, bipolaire,
Ma passion pour toi est profonde.

Tu m’as conquise, ensorcelée,
De ton imposante nature,
De la vierge et de tes rochers,
Tu es la plus belle des peintures.

 Quel charme ce port des pêcheurs,
Les chemins dans les roches, sculptés,
Je n’me lasse pas de ta splendeur,
Biarritz tu m’auras envoutée.

Du charme des maisons aux couleurs,
Des merveilleux petits châteaux,
De l’iode si sain, des bonnes odeurs,
Et de mes amours, les moineaux.

De ton majestueux Palais,
De l’élégance du Régina,
De ta divine voie lactée,
Et de tout ces beaux hortensias.

De la puissance de ta mer,
De l’influence de tes montagnes,
De la pureté de ton air,
Des Landes proches ou de l’Espagne.

Biarritz est pour moi, exemplaire,
De comment prendre soin de la terre.
La nature s’est bien habillée,
On a devoir de l’honorer.

L’humain a bien fait son travail,
Pour t’égaler, dame Nature,
Je me sens ici, au bercail,
Biarritz sera mon futur.

Merci à tout ceux qui ont fait,
De cette ville propre, une beauté.
Merci à tout ceux qui y vivent,
De continuer à respecter.

Je remercie aussi la pluie,
Fort présente au pays,
Mais grâce à qui on est sauvé,
De l’invasion d’humains boulets.

Ma chère Biarritz magnétique,
Douce et forte, énergétique.
De tes couleurs et de tes ombres,
Tous tes ciels sont comme des songes.

De la belle plage du Miramar,
Patrick le fameux homme des mouettes,
M’aura donner un bel espoir,
Dans son altruisme envers les bêtes.

Notre ville n’est pas là où l’on naît,
Elle est celle qu’en vie, on choisit.
Depuis deux ans, je te connais,
Plus un seul doute, tu es mon nid.

Aussi rustique que raffinée,
Je te chéris fort dans mon cœur,
Toutes tes images restent gravées,
Même si souvent le ciel pleure.

Tu m’as éclairé de ton phare,
Je dois te quitter à ce jour,
J’espère revenir tôt, pas tard,

J’écris ces mots le cœur lourd.

Humains ou Robots ?

Me voilà évadée, dans les montagnes d’Asie,
Là où la vie est douce et belle à observer,
La ville est un enfer, où nous tuons la vie,
Les humains, des robots, qui ne savent que polluer.
Dame nature, notre terre, toi qui nous qui nous donne un nid,
Pourquoi l’homme, si mauvais, ne t’a pas remercié ?
Dame nature, notre mère, toi qui es si jolie.

Il se moque de toi, se prenant au sérieux,
Il a un gros complexe, d’infériorité,
Car tu es notre toit, donc le seul vrai Dieu,
Cela ne lui plait pas, il détruit pour régner.
Nature imprévisible, de la terre et des cieux,
L’homme a fort peur de toi, donc, veut t’exterminer.
Il fait n’importe quoi, pensant toujours faire mieux.

Il construit des buildings, allant plus en plus haut,
Des machines infernales , allant plus en plus vite,
Et nous comme des aveugles, en plus on dit bravo !
Toutes ces applications, jeux débiles, nous limitent,
En disant oui à ça, nous sommes les pires idiots,
Car le bonheur est loin, de tout ce qui s’agite,
Plus ça va, ça va vite, plus le vrai est du faux.

C’est la guerre dans nos vies, c’est normal que ça pète,
Toutes nos énergies, dans le monde se reflètent,
On se dit tous amis, mais c’est chacun sa tête,
On se dit tous unis, mais c’est chacun sa quête,
A cultiver l’égo, on tue toute relation,
Il n’y aura plus de vie, si on néglige l’union,
Dame nature, ma chair, l’homme est le pire poison.

Instagram et Smartphones

« -L’homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique. – Je crains le jour où la technologie remplacera les interactions humaines. Nous aurons alors créé une génération d’idiots.
-Le progrès technique est comme une hache qu’on aurait mise dans les mains d’un psychopathe.
– Il est hélas devenu évident aujourd’hui que notre technologie a dépassé notre humanité. »

Albert Einstein

 

 » Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tord qu’ils ont raison. « 
Coluche

 

Depuis le jour où j’ai instagram installé,
J’ai dans la main, toujours, une horrible sensation,
Comme si ça me chauffait, comme si ça me tendait,
Tous les nerfs de ma main, en totale contraction.
C’est l’effet d’un aimant, qui nous a aliéné,
En chose robotique, en pleine mutation.
Alors je sais pas vous ? Si vous aussi sentez ?
Que ça nous fait du tord, que c’est le pire poison.
Que ce genre d’inventions est loin d’être un progrès,
Autant physiquement, que pour nos émotions.
Le peuple devient idiot, triste et dégénéré,
Regardez vous d’en haut, et vous pourrez dire Non.

Dangereux comme la drogue, qui vous donne l’illusion,
Que le mal est le bien, que le vrai est le faux.
De selfie en selfie, piteuse génération,
Vice de créer l’envie en se pensant si beau,
Excès du moi moi moi, d’une pauvre prétention,
Voulant être adulé, sur ses réseaux sociaux.
Par cette facilité, qui vous donne l’addiction,
A poster votre vie, vous n’êtes que des photos.
Avant ça je pensais, qu’on venait du mouton,
A ce jour nul doute, qu’on descende du robot.

Maléfique instagram, société star système,
Aussi superficielle que fausse et hypocrite,
Comment polluer son âme, en recherchant les: « j’aime »,
Comment détruire la vie pourtant énergétique.
Chers messieurs, chères dames, il n’y a rien qui vous gène ?
Votre vie, votre temps, n’est que d’informatique.
Rien donc ne vous alarme ? Il n’y a pas de problème ?
Vous sentez vous heureux ou d’un vide chronique ?
Vous n’voyez pas le drame, vous n’sentez pas vos chaines ?
Le miroir de vous-même n’est-il pas pathétique ?
Je n’vous mets pas le blâme, mais secouez vous quand même !
Humanité sans flamme, matrice diabolique.

J’ai découvert aussi la fameuse « story »,
Et l’intérêt malsain, que tous vous y trouvez,
Une forme de voyeurisme, de petites mesquineries,
Pouvoir enfin savoir qui nous porte intérêt.
Vous tous, mes fans cachés, soyons donc des amis ?
Pourquoi donc m’espionner, si jamais vous m’aimez ?
Voyons nous pour du vrai, aimons nous dans la vie,
C’est tellement plus utile, dans la réalité.
Pas besoin d’en avoir, des centaines d’amis,
Si on veut qu’ils soient bons, des sincères et des vrais.

Si pour vivre, heureux, il faut vivre caché,
On semble tous malheureux, à ainsi se montrer.
Faut vivre avec son temps, il faut communiquer ?
Tous devant des écrans, loin de la vérité ?
Faut vivre avec son temps, c’est ce que vous direz !
Vous êtes tombés dedans, faut bien le justifier.
Comment faire des enfants dans une telle société ?
Où quand une mère enceinte, le foetus publié.
Pauvres homos sapiens, bêtes dénaturées,
Tout le monde se ressemble, ils ont créé l’armée.
Tu parles d’un modèle, loin d’être équilibré,
Plus personne n’a ses ailes, ça ne peut m’inspirer.

A ceux qui ne voit pas le danger de tout ça,
Je dirais bon courage, vous êtes dans le brouhaha.
J’aurai écrit ce jour, le fond de ma pensée,
Et c’est en regardant, en premier mon reflet,
Que j’ai pu constater, le miroir tragique,
De mon être diminué, d’être plus égocentrique,
De cette solitude, disproportionnée,
Par mauvaise habitude d’être mal connectés.
Même les plus grandes stars, se sont toutes faites happées,
Cela prouve que l’ego, n’est jamais rassasié.

Pourtant si connectés, mais de plus en plus seuls,
Très loin de la sagesse et de la liberté,
Tous plus autocentrés, chacun pense qu’à sa gueule,
La nature m’attend, elle a plus à donner.
Pour éviter l’enfer, faut le voir pour dire non,
Pour être libre sur terre, il faut se révolter,
Ca demande énergie de vivre en rébellion,
C’est tellement plus simple, la facilité,
Surtout quand tout le monde est dans l’acceptation,
Quand on est une rebelle, on est vite écarté.
Mais je préfère ma vie, libre, que d’être un pion,
Même si ma vie est lutte, le bonheur à la clé.

Depuis un an gâché, sur cette application,
J’ai pu analyser, le pourquoi du comment,
Pour aujourd’hui poser, la ferme décision :
Ca y’est c‘est terminé, j’ai trop perdu de temps.
Même les intelligents, finiront tous cons,
Alors pour l’éviter, je serai plus client.
Je vous en pris humains, retrouvez la raison !
Elevez vous un peu et regardez devant,
Car ce qui vous attend, c’est de vivre en prison,
Comme des marionnettes, perdues dans ce tourment.

Je serai le changement, que je veux dans ce monde,
Je refuse fermement, de devenir machine !
Je m’en vais dès maintenant, dégagée de ses ondes,
Qui nous rendent dépendants, pire que la cocaïne.
Je me retire maintenant, sans perdre une seconde,
Je ne veux pas de place, dans ce monde de fouines.
J’espèrerai secrètement, que la nature gronde,
Pour vivre pleinement, loin de ce qui nous ruine.
Je rêverai en silence, que tout cela explose,
Pour qu’on ai plus le choix, que de se retrouver,
La seule solution pour tous vivre en osmose,
C’est surement qu’il n’y ait plus, ces smartphones endiablés.