Le Pardon est Vital

 

Comment ai -je pu aimer une personne comme toi ?

Qui prenait plaisir à me faire douter de moi.

Comment ai-je pu te croire dans tes mots tant de fois ?

Comment n’ai-je pu n’pas voir que tes actes collaient pas ?

Comment ai-je pu douter de mon fort ressenti,

Qui me disait souvent , allez, au plus vite fuis !

Comment ai-je pu aimer un être si peu sincère ?

Comment ai-je pu penser que tu puisses être un frère.

Comment ai-je pu rester , avec un être méchant,

Qui me disait toujours , que mes rêves sont trop grands !

Pourquoi ai-je excusé, toutes ses castrations,

J’étais toujours seule à me remettre en question.

Comment ai-je pu encore et encore pardonner ?

Après tant de sales coups, indignes de respect .

Comment ai-je pu penser que t’étais mon âme sœur ?

Toi le traitre joueur , et le fieffé menteur.

Comment ai-je pu aimer un homme si petit ?

Qui se prend pour un dieu et méprise tant autrui.

Comment ai-je pu penser que t’étais un surhomme ,

Pour t’avoir vu agir en pensant qu’à ta pomme.

Et en plus t’es heureux, ça te rend misérable,

D’avoir agi ainsi , sans peine pour tout ce le mal .

Et en plus t’es heureux, proche du malade mental,

Pas une excuse profonde , rien de plus anormal.

J’ai tellement de douleur par ton indifférence,

Quand t’arnaques les cœurs et jouis de leurs souffrances.

Tu m’auras fait monter jusqu’au dixième étage,

Pour ensuite me faire descendre jusqu’au tombeau,

Tu n’auras dévoilé, que ton plus beau visage,

Je t’aurai prévenu, de mes certains défauts.

Avant toi j’étais libre, aujourd’hui bête en cage,

Rien de plus douloureux, quand on est un oiseau.

Je n’ai plus de regret, j’aurai pu en crever,

Et le pire c’est que ça t’aurait fait jubiler.

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