C’est difficile d’être heureux, sans avoir beaucoup d‘ignorance,
J’estime que c’est fort désastreux, de faire impasse sur la souffrance,
Que vivent tant de gens, c’est honteux, de se complaire dans l’innocence,
D’avoir à se fermer les yeux, quelle égoïste vaine existence,
C’est lamentable et douloureux, l’individualisme en puissance.
J’ai choisi d’être impétueux, pour agir en pleine conscience,
J’ai choisi d’être courageux, même si j’y perds en prééminence,
J’ai choisi d’être généreux, car ça détruit l’indifférence,
J’ai choisi de faire de mon mieux, pour que ma vie ait un vrai sens,
Je défends le coté de ceux, qui ne connaissent pas le mot : chance.
C’est l’heure de déclencher la guerre, sans armes, pas comme vous : barbares !
Nous on vomit vos sales manières, c’est l’heure où le peuple prend pouvoir,
On sait ce qu’il nous reste à faire, on est en masse devant le phare,
On va se battre pour notre terre, pour l’équité, pas les dollars,
Pour démolir toutes vos frontières, pour mettre fin à ce cauchemar.
Vos publicités mensongères, plus personne ne pourra y croire.
Pour l’économie et la terre, on unira tous nos savoirs,
On dictera ce qu’il faut faire, vous n’aurez qu’à le faire valoir.
On s’unira tous solidaires, car la justice est un devoir,
Nous les peuples nous peuplons la terre, unis on est remplis d’espoir.
Ca vous aura bien arrangé, de nous faire manger toutes vos guerres,
Bien plus simple une fois divisé, que le peuple n’ose plus rien faire,
Cette fois ci vous êtes démasqués, le peuple est enfin en colère,
A vous de nous dédommager, on va partager vos salaires,
Sans le peuple vous pouvez plus jouer, sans le peuple vous êtes la misère.
Nous seuls on peut se débrouiller, sans nous vous êtes des grabataires.
On ne va plus jamais lâcher, on est de nombreuses sœurs et frères,
A se foutre de nos intérêts, à la connaître la galère,
Ce défi on va le relever, par la force d’union salutaire.
Plus rien ne va nous arrêter, à vous de faire votre prière !
Elle n’est à personne notre terre, ses richesses doivent être partagées.
C’est notre nid, mère nourricière, elle mérite le plus grand respect.